Les actualités

Auteur/autrice : PGUINARD@dm1n

DH : résultats du mouvement 2021-8 pour les emplois fonctionnels et de chefs d’établissement

La publication comportait 10 emplois fonctionnels dont 1 de groupe I, 2 de groupe II, 7 de groupe III et 2 emplois non fonctionnels.

L’instance collégiale s’est réunie le 20 janvier 2022 pour arrêter les listes de candidats présélectionnés.

Le CNG publie aujourd’hui la liste des 12 candidats retenus :

Résultats Mouvement 2021-8 Chefs d’établissements et Emplois fonctionnels DH

Les candidatures aux emplois fonctionnels et de chefs d’établissements publiés le 13 janvier seront examinées lors de l’instance collégiale du mercredi 16 mars 2022.

Le CHFO est à votre écoute pour vos projets de mobilité. N’hésitez pas à nous en faire part et à nous saisir de toute question :
permanence@chfo.org // 01.47.07.22.34

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Une nouvelle réforme dans le dos des ordonnateurs hospitaliers ?

 Au nom de la modernisation de l’action publique, il est envisagé de supprimer la responsabilité personnelle et pécuniaire des comptables et de renforcer le régime de responsabilité des ordonnateurs jugé « trop restreint et souffrant de délais excessifs ».

La rupture de l’équilibre antérieur Ordonnateur / Comptable est bien réelle. Même s’il est affiché le principe de ne mettre en cause que pour des préjudices graves, il demeure que l’intention est bien de mettre en cause plus souvent et plus rapidement. Ainsi la combinaison de cette réforme avec par exemple la loi Rist sur l’intérim médical peut avoir l’effet d’une bombe paralysante !

On parle donc pour l’avenir d’amendes pécuniaires calculées en fonction de la rémunération de l’agent, et de « sanctions managériales » sous la forme d’interdiction de la fonction d’ordonnateur. Et bien sûr, il est prévu d’interdire le système de cautionnement qui assurait jusqu’à présent les comptables. La réforme mécontente aussi les comptables publics, qui ont bien vu le risque de cumul entre sanctions juridictionnelles et sanctions managériales, reprenant ainsi une préconisation du rapport Bassères : “une plus grande responsabilisation des gestionnaires publics suppose que soient plus largement mobilisés les leviers d’incitation et de sanction managériales soient plus largement mobilisés”.

Le nouveau régime de responsabilité s’appliquerait à tous les agents exerçant des fonctions d’ordonnateur ou de comptable, qu’ils soient fonctionnaires, contractuels de droit public. En revanche, il ne concerne pas les ministres ni les élus locaux, à la différence des membres de leurs cabinets et des directeurs d’administration.

Sera ainsi passible d’une sanction l’agent qui, “par une faute grave ayant causé un préjudice financier significatif”, aura “enfreint les règles relatives à l’exécution des recettes et des dépenses ou à la gestion des biens” des administrations, ou encore celui qui aura “approuvé” ces décisions “comme tutelle” desdites administrations. Certaines fautes spécifiques sont également visées dans le nouveau régime de responsabilité, comme la gestion de fait ou le défaut de visa du contrôleur budgétaire. 

Quant au caractère “significatif” du préjudice financier, le projet d’ordonnance précise que celui-ci sera “apprécié en tenant compte de son montant au regard du budget de l’entité ou du service relevant de la responsabilité du justiciable”. Pas plus de précisions, d’où l’importance de la jurisprudence future sur cette responsabilité des gestionnaires qui viendra affiner la notion de préjudice “significatif” comme celle de faute “grave”. 

S’agissant des sanctions prévues par le nouveau régime de responsabilité, le projet d’ordonnance acte la mise en place d’un dispositif de sanctions graduées selon les infractions commises. Le juge financier pourra ainsi prononcer des amendes plafonnées à six mois de rémunération ou à un mois en cas d’infraction “formelle” 

Outre ces amendes, le gouvernement met également l’accent sur les sanctions managériales qui pourraient être prononcées, comme un non-renouvellement de contrat ou encore la suppression de la part variable de rémunération

Après l’instauration de la certification des comptes qui ponctionne chaque année des montants importants versés à des cabinets privés, c’est une étape de plus du démantèlement du dispositif comptable public de nos établissements. A quand la prochaine phase de transfert de charges ?

Le contrôle du bon usage des deniers publics est une obligation constitutionnelle incontestable. Une réforme du dispositif ne doit pas se faire au détriment des établissements et de leurs directeurs.

Le projet d’ordonnance doit être présenté le 17 février au Conseil commun de la fonction publique. Aucune concertation avec les syndicats représentatifs des directeurs n’a été organisée !

Le CHFO demande à notre ministère d’assurer leur protection et de ne pas charger encore plus la barque !

D3S : Avis de vacance d’emplois d’adjoints du 5 février 2022

21 emplois de directeurs adjoints ou directrices adjointes sont proposés, aux D3S de classe normale ou hors classe  : consulter l’avis

Les candidatures doivent être adressées sous 3 semaines au Centre National de Gestion à l’adresse électronique suivante :

cng-mobilite.d3s@sante.gouv.fr

Les fiches de poste vont être mises en ligne par le CNG, sinon vous pouvez les solliciter auprès de l’établissement et le dossier de candidature doit leur être adressé directement.

La publication suivante est programmée  le 12 avril pour les emplois de chefs d’établissements, et le 22 avril 2022 pour les emplois d’adjoints : Consultez le calendrier des publications 2022 pour les adjoints.

Le CHFO est à votre écoute pour vos projets de mobilité : 

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Statut des ingénieurs hospitaliers : ouverture des discussions

Le CH-FO a participé avec la fédération FO à un premier groupe de travail avec la DGOS jeudi 20 janvier sur la refonte statutaire des ingénieurs de la FPH.

La DGOS annonce comme cadre une convergence avec les ingénieurs territoriaux, ce qui impliquerait de créer deux corps distincts (ingénieurs hospitaliers et ingénieurs hospitaliers en chef) et un déroulé de carrière similaire à celui de la FPT.

Les discussions portent sur les conditions l’accès à ces deux corps, les conditions de passage de grades et de promotion pour les TSH, les conditions de création de postes d’ingénieurs en chef (dans la territoriale, cela dépend de la taille des collectivités), la mise en place d’un GRAF(*) dans chaque corps et le maintien ou non d’emplois fonctionnels(**).

Nous voyons dans ces propositions des avantages certains pour les ingénieurs hospitaliers, notamment parce que dans la territoriale, les durées d’échelon sont en moyenne 6 mois plus courtes pour les ingénieurs en chef et qu’il existe un troisième grade dans chaque corps.

Néanmoins, nous sommes opposés aux conditions de création de postes d’ingénieurs en chef proposées par le ministère qui sont trop restrictives pour les « petits » établissements, et nous demandons un alignement complet des grilles indiciaires afin de réduire le handicap d’attractivité du secteur hospitalier.

Il y aura au moins une autre réunion d’ici quelques semaines ; la fin du printemps, les choses devraient avancer rapidement. Nous vous tiendrons bien évidemment informés.

Force Ouvrière a posé la question du régime indemnitaire, mais compte tenu du calendrier celui-ci devrait être abordé dans un second temps, en lien avec la discussion globale sur les régimes indemnitaires dans la FPH.

A titre d’exemple de l’écart des grilles actuelles avec celles de la fonction publique territoriale, voici les liens (avec les liens vers les grades associés) : 

https://www.emploi-collectivites.fr/grille-indiciaire-territoriale-ingenieur-chef-territorial/4/6522.htm  à comparer avec la nôtre : https://www.emploi-collectivites.fr/grille-indiciaire-hospitaliere-ingenieur-hospitalier-chef-classe-normale/4/101/250.htm

  (*) un GRAF est grade à accès fonctionnel qui s’obtient en fonction des postes et responsabilités occupés au cours d’une carrière et présente l’avantage d’être pérenne. Autrement dit, si après avoir occupé un poste à responsabilités, vous occupez un poste avec moins de responsabilités, vous conservez ce grade.

 (**) aujourd’hui, création d’emplois fonctionnels d’ingénieur général limitée aux CHU.

Consultez notre dossier sur le statut actuel des ingénieurs hospitaliers :

Ingénieur hospitalier, mon statut, mes droits (chfo.org)

Instance collégiale DH du 20 janvier 2022

L’instance collégiale DH s’est réunie le 20 janvier 2022 pour examiner les candidatures à 10 emplois fonctionnels dont 1 emploi de groupe I, 2 emplois de groupe II, 7 emplois de groupe III, et 2 emplois de chefs d’établissements.

Les emplois publiés avaient recueilli un nombre très variable de candidatures entre 1 et 11. L’instance a retenu des candidats pour tous les emplois : 

3 emplois ont 1 seul candidat, 

1 emploi a 2 candidats

2 emplois ont 3 candidats

1 emploi a 5 candidats

2 emplois ont 6 candidats

2 emplois ont 7 candidats.

1 emploi a 8 candidats

L’échéance de communication des choix définitifs est fixée au 25 février 2022.

L’instance collégiale a ensuite examiné le bilan de fonctionnement 2021 présenté par le CNG. 

La comparaison avec le fonctionnement antérieur du comité de sélection indique :  une tendance à la diminution du nombre moyen de candidats, de 7,6 à 6,1 par poste, une part de candidats contractuels qui diminue (environ 6%).

A l’issue des tours de recrutement 2021, 10 postes sur 216 publiés sont restés non pourvus, dont 9 ont été republiés.

Le CNG fait valoir que le rythme accéléré des publications a permis une réduction du délai de prise de poste après le départ du prédécesseur (environ 20 jours). Les inconvénients sont la moindre visibilité des postes vacants pour les collègues.

L’instance collégiale a demandé que le bila soit complété sur la question des nominations équilibrées femmes hommes, et en fonction des types de poste (chefs, adjoints par exemple).

Il a été aussi fait un bilan de l’application des critères de sélection aux emplois inscrits dans les Lignes directrices de gestion qui avaient été soumises au Comité consultatif national.

En un an 4 critères ont fait l’objet de dérogations, uniquement pour les emplois fonctionnels : exclusion de la candidature sur place (1 fois), candidature du directeur intérimaire (2 fois), candidature quand on a exercé la tutelle sur le territoire (1 fois), et enfin candidature quand on exerce depuis moins de 3 ans sur l’emploi fonctionnel précédent sauf circonstances exceptionnelles (10 fois).

L’analyse du CHFO

Le bilan portait en fait sur 2 sujets : le fonctionnement de la nouvelle Instance collégiale d’une part, et l’impact du choix de publication plus rapprochée des postes.

Le CHFO a dénoncé la suppression du comité de sélection, car il s’agissait clairement d’une volonté de marginaliser le rôle des représentants des directeurs, avec en particulier la suppression de l’avis de la CAPN sur les choix. Notre place avec voix consultative nous permet encore de plaider pour faciliter les parcours des collègues, et veiller à l’égalité d’accès, en particulier par le respect des critères de sélection. Nous avions obtenu que les critères appliqués antérieurement par le comité de sélection soient repris dans un premier temps, afin de ne pas brouiller encore plus les cartes.

La mise en place de l’Instance collégiale a été pour le moins chahutée, avec la démission rapide des personnalités qualifiées, face à une dérogation qu’elles ont jugée non fondée. Le CHFO maintient que le respect de critères de sélection répond à l’exigence légale de respect du principe d’égalité d’accès aux emplois, et qu’il contribue en outre à une bonne gestion prévisionnelle des parcours des directeurs. Les dérogations ne sont pas interdites si motivées par l’intérêt général, et d’ailleurs font dans ce cas consensus.

L’instance n’est pas compétente pour réviser les lignes directrices de gestion qui relèvent du Comité consultatif national. Certains ajustement pourront être examinés dans la séance du mois de mars : la prise en compte de l’objectif de nominations équilibrées , la prise en compte du rapprochement familial, la question de la durée pour pouvoir recandidater sur son ancien établissement (actuellement 5 ans alors que les autre délais sont de 3 ans). Il n’est donc pas question à ce stade de remettre en cause les critères adoptés fin 2020.

Sur la question du rythme des publications, le CHFO avait déjà fait valoir la difficulté pour l’instance d’élaborer des shortlistes alors que les choix n’étaient pas connus sur le tour précédent. Un ajustement du rythme permettrait de l’éviter. La balance avantages inconvénients devra être évaluée à nouveau.

Le CHFO veille et veillera à chaque étape à ce que les parcours des collègues soient facilités, sinon l’attractivité des emplois à haute responsabilité continuera à se dégrader.

Prenez connaissance de la Déclaration liminaire du CHFO à l’instance collégiale du 20 janvier 2022

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Ingénieur : le Centre hospitalier de Versailles (78) recrute

 

Sous l’autorité de l’Adjoint au Directeur, responsable des travaux et de la maintenance, il assure le management des équipes internes placées sous l’autorité de deux TSH, chargées de la maintenance des bâtiments et des installations techniques.

Consultez la fiche de poste :

CH VERSAILLES INGENIEUR MAINTENANCE

Contact pour tout renseignement :

Moussa TOURE, Directeur des Investissements et du Patrimoine –  mtoure@ch-versailles.fr

Christophe BERUT, Adjoint au Directeur des Investissements et Patrimoine, Responsable travaux-maintenance –  cberut@ch-versailles.fr

DH : résultats du mouvement 2021-7 pour les emplois fonctionnels

La publication comportait 2 emplois fonctionnels de groupe III.

L’instance collégiale s’est réunie le 7 décembre pour arrêter les listes de candidats présélectionnés. 

Le CNG publie aujourd’hui la liste des 2 candidats retenus :

Résultats Mouvement 2021-7 Chefs d’établissements et Emplois fonctionnels DH

Les candidatures aux emplois fonctionnels et de chefs d’établissements publiés les 16, 18 et 20 novembre seront examinées lors de l’instance collégiale du jeudi 20 janvier 2022.

Le CHFO est à votre écoute pour vos projets de mobilité. N’hésitez pas à nous en faire part et à nous saisir de toute question : 
permanence@chfo.org // 01.47.07.22.34

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Sages-femmes : vacance d’emploi fonctionnel de coordonnateur en maïeutique

L’avis de vacance publié  propose un emploi fonctionnel de coordonnateur en maïeutique à la maternité du centre hospitalier universitaire de Nantes, site Hôtel-Dieu, à Nantes (Loire-Atlantique).

Le délai de candidature est de 3 semaines.

Consulter l’avis.

Le CHFO est à votre écoute pour vos projets de mobilité :

permanence@chfo.org  

Tel : 01 47 07 22 34

ONDAM 2022 : quelles conséquences sur le financement à venir des hôpitaux ?

Les propositions de l’Assurance Maladie pour 2022 font état d’une situation complexe en matière d’équilibrage de comptes[1]. Ce constat sans appel ne sera pas sans conséquences en matière de trajectoire financière de notre système de santé et notamment des établissements de santé. Le PLFSS 2022 qui vient d’être adopté[2]  s’est appuyé sur ces travaux en vue de projeter un retour progressif à la « normale » d’avant 2020, pour les années…2030 – 2040.

Retour sur 2020 et 2021

En 2021, le déficit du régime général s’est modérément amélioré (+4,6 Md€) pour s’établir à 34 Md€. Pour les EPS, les comptes se sont légèrement redressés en 2018 et 2019, avec un déficit global des EPS, toutes activités confondues, qui s’est établit respectivement en 2018 et 2019, à 740 M€, (1 % des produits) et à 566 M€ (0,7 % des produits)[3]. Ce déficit ne concerne qu’un peu plus de la moitié du panel des établissement, soit 58% des établissements, et avec comme à l’accoutumée, une concentration de ce déficit sur les établissements les plus importants…

Concernant l’exercice budgétaire « spécial » de 2020, la réduction du déficit serait principalement dû au dispositif exceptionnel de la garantie de financement[4], pour lequel de nombreux établissements (notamment les plus importants) auront ainsi pu décorréler leur activité classique « déprogrammée » avec ces ressources garanties « excédentaires », et notamment par des dotations MIGAC MCO, qui auront ainsi fortement augmenté en 2020 (+74%).  D’autres mesures ont complété le dispositif de soutien aux établissements, notamment l’avance de trésorerie sur les pertes de recettes complémentaires durant la période de déprogrammation des activités[5].

Cette amélioration du déficit « conjoncturel » annuel a également été facilité par une réduction de l’offre hospitalière et notamment une diminution du nombre d’établissements. En 2020, la réduction du nombre de sites a été de 25 (-0,8 %), ce qui est à mettre en perspective avec les diminutions constatées sur les dix précédentes années[6].Sur les vingt dernières années, plus de 40 000 lits en médecine, chirurgie et obstétrique (MCO) auraient été supprimés sur l’ensemble des établissements, toutes disciplines et tous secteurs confondus. Ce constat s’est également poursuivi en 2020[7].

Ces « mesures » visant à réduire assez drastiquement l’offre, hors soins critiques, ont eu également pour conséquence de s’inscrire dans une logique d’amélioration de résultats budgétaires et financiers.

En outre, l’effort d’investissement des EPS, qui avait été soutenu par les plans « Hôpital 2007 » et « Hôpital 2012 », n’a cessé de décroître depuis 2009 (- 7 milliards), pour se stabiliser avant le Ségur investissement à un peu moins de 4 Md€[8].

Et après 2022 ?

Alors quid des prévisions des années suivantes, dépendantes elles-aussi de l’évolution de la situation sanitaire et de la vigueur de la reprise économique ? A ce stade, les prévisions présentées dans le PLFSS font état d’un déficit, en baisse mais persistant, de 13 Md€ dès 2023.

Si pour l’année 2022, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ne contient aucune mesure d’économies pour l’hôpital, avec une prévision de contraction de l’ONDAM de 0.34% en 2022 et ce, après une hausse de 9.53% en 2020 et 8.02% en 2021, force est de constater que ce scénario risque de ne pas se reproduire pour les années suivantes.

Selon, le Haut Conseil du financement de la protection sociale (HCFIPS)[9], avec un scénario de croissance faible de 2,8% par an, une progression des dépenses d’assurance maladie de 2,3% (soit la progression annuelle moyenne de l’Ondam entre 2010 et 2019) un retour à l’équilibre de la branche maladie ne pourrait s’envisager qu’à compter de 2040. Pour un retour à l’équilibre en 2031, l’Ondam devrait évoluer à 1,7% par an.

Ce qui se traduirait également par ailleurs pour nos structures de santé, par un retour à des plans d’économie rigoureux pour faire face au tendanciel des charges estimées à près de 5 % par an, donc à plus de 2 Mds d’économies à réaliser par an…

Une situation bien entendu inenvisageable pour le CHFO et l’ensemble des hospitaliers !

[1] Rapport « Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses » au Ministre chargé de la Sécurité Sociale et au Parlement sur l’évolution des charges et produits de l’Assurance Maladie au titre de 2021 (Loi du 13 Août 2004) – Juillet 2021

[2] Projet de loi de financement de la sécurité sociale, adopté, par l’Assemblée nationale, pour 2022, n° 118 , déposé(e) le 2 novembre 2021 et renvoyé(e) à la Commission des affaires sociales, et https://www.securite-sociale.fr/files/live/sites/SSFR/files/medias/PLFSS/2022/PLFSS-2022-Annexe%207.pdf

[3] Cf. Annexe 7 au projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2022 concernant l’évolution de la situation financière des établissements publics de santé (EPS) de 2015 à 2019 et étude annuelle sur les établissements de santé réalisée par la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES).

[4] Cf. Karim AMRI « Le maintien de la garantie de financement » – Finances Hospitalières – Octobre 2021

[5] Cf. Karim AMRI « Le Ségur investissement, une affaire à suivre » – Finances Hospitalières – Octobre 2021

[6] 2 983 établissements sont recensés en 2020, dont 1 342 hôpitaux publics, 667 établissements privés à but non lucratif et 974 cliniques privées. De 2013 à 2020, -78 établissements publics ; – 48 cliniques privées ; -18 ESPIC.

[7] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications-documents-de-reference/panoramas-de-la-drees/les-etablissements-de-sante-edition-2021

[8] 3,7 Milliards d’euros. Cf. Karim AMRI« Le Comité Interministériel de Performance et de la Modernisation de l’Offre de Soins (COPERMO), bras armé des restructurations hospitalières » – Finances Hospitalières – Février 2019

[9] Cf. Rapport « Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses ». Op. Cit

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