Le CHFO fait siens les termes du communiqué du CHU :
“Face à ces débordements inqualifiables, c’est toute la communauté hospitalière qui s’indigne et condamne fermement ces méthodes de violences et d’intimidation, employées par une poignée d’individus, dans cet établissement où 95% des personnels répondent à l’obligation vaccinale.”
Les événements du 4 janvier viennent à la suite de plusieurs exactions, menaces, violences sur les personnes et les biens, et entraves à l’accès aux soins. Le CHFO demande que la protection des hospitaliers de Guadeloupe soit assurée comme sur tout le territoire.
Contre tous les propos qui attisent la haine et la division, c’est l’esprit de service public qui doit l’emporter.
La difficulté de la période est bien assez grande, nous avons le droit de travailler dans la sérénité.